Little D
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Date d'inscription : 10/06/2007
 | Sujet: Mots après mots voici mon Expo  Sam 23 Juin - 4:37 | |
| Ici je suis dans mon monde de creation.
Un endroit clos et interdit a toute mauvaise âme.
Ici ses chez moi mais faite comme chez vous.
Lisez et apprecier les defilait de mots volupté qui danse avec le vent.
Et qui glisse lentement a votre oreille pour donner un douce mélodie. Encore et toujours
C'est encore et toujours la même chose.
Le soleil se lève, sa douce chaleur caresse ma peau blanche sans éclat.
Mes yeux sont rougis par la nuit, je regarde l'astre suprême se lever lentement, non je n'ai pas dormi, je n'ai pu cesser de pleurer pour toi encore et encore.
Tes yeux? Je ne les vois plus, ils se sont éteinds comme la flamme d'une bougie consumée. Tes caresses sucrées, ta peau chaude sur la mienne, cette douce sentation a disparue. Ta voix n'est plus qu'un murmure, tout n'est que souvenir d'une douleur intense et d'un être aimé, volé par une autre.
Tu n'existes donc plus. Seule dans mon lit, je t'entends encore, ta respiration sifflait à mon oreille, tes lèvres carressaient mon cou et tes mains jouant dans mes cheveux.
Mais tu n'es plus là, ma chambre est un sanctuaire à ton effigie où tous mes souvenirs de toi sont gravés. Je n'ose la quitter même une seconde car si j'ouvre la porte pour sortir, j'ai peur qu'ils s'en aillent eux aussi.
Les jours passent et rien ne change, c'est encore et toujours ici sur mon lit que je me trouve bien prés de ta présence perdue, le vent qui entre dans ma chambre est chaud et je sens revivre en moi une douceur que j'ai perdue quand tu t'en est allé.
La douceur de tes bras si forts et si doux m'enlaçant tendrement, cette sensation d'être en sécurité, enveloppée dans une chaleur partagée entre toi et moi.
Tout ce qui faisait que j'étais à toi et que tu étais à moi disparaît au lever du soleil quand je me rends compte que tu n'es pas là près de moi, que tu ne me sers pas contre toi.
Le silence de ma chambre efface ta présence au matin et laisse place à mes sanglots longs qui s'évanouissent par la fenêtre. Ai-je encore raison d'espérer ou même d'exister sans toi?
Je ne sais plus depuis combien temps je pleure pour toi, pour que tu me reviennes. Je ne mange plus, je ne bois plus et je ne dors plus pour toi. Tu m'as effacé de ta vie d'un revers de main, moi, je ne parviens pas à t'oublier.
J'aurais voulu que tu me revienne, juste une fois, me dire que tu m'as aimé plus que tout, mais tu n'es jamais revenu. J'ai encore la rose que tu m'as offerte, elle s'est fanée comme notre amour. Demain, le dernier pétale tombera mais je ne t'aurais toujours pas oublié.
Je repousserai encore et toujours à demain ton oubli mais j'espère au fond de moi que demain n'arrive jamais. SilenceCouché sur mon lit j'entends le silence murmurer a mon oreille.
Depuis des jours ma chambre et vidait de tout sentiment pas de tristesse ni de colère ma envahit c'est dernier jours.
Ma chambre serait t-il devenu mon tombeau ? Ou serais-je la seul a muré éternellement dans mon silence ?
Pourquoi ma t'on lâchement enchaîner a mon passé ? Toute mon histoire défile devant mes yeux comme une fatalité.
Qu'ai je fais a se monde de brute pour qu'il me mur dans se silence douloureux.
Je m'autodétruis lentement enfermer dans se silence impénétrable.
Mes pleure, mes cries de haine ne retentissent encore qu'au fond de mon coeur.
Je sens une main froide posé sur mon épaule j'ai peur de me retourner et de voir la mort.
Je fuis donc ma chambre pour aller chercher un endroit sur mais mon silence me rattrape dois je abandonné ou fuir encore ? Je n'en sais rien je sais juste que je me suis battue trop longtemps je suis fatigué ma force vital glisse entre mes doigt fin et squelettique.
Je me retourne alors et regarde la mort dans les yeux dans un dernier souffle je lui demande : "Pourquoi ?"
Elle ne réponds pas je voudrais hurler de tout mes forces pour qu'elle me réponde mais aucun son ne retentit autour de moi.
Je me laisse alors tombait a genoux sur le sol des larmes d'un argent pure glisse sur visage pale, je sens mon souffle ralentis je redresse lentement la tête vers la mort.
Et j'entends encore se silence impénétrable m'envahirent un dernier fois elle me folle mon dernier souffle de vie.
Je tombe sur le sol froids mon âme et tourmenté par une question qui restera a jamais sans réponse.
Est-ce ma solitude qui ma tuais au tout simplement se silence inébranlable qui éteints la lumière de mes yeux a tout jamais ?
Personne ne le sera car tout le monde meurs un jour mais mourir seul est la pire chose qui puisse arriver à un être.
La solitude tue lentement en silence vous usent jusqu'a la moindre parcelle de vous même vous rendent alors dépendant a cet solitude et ce silence qui vous fais tant de bien.
Le silence et la solitude sont des drogues dangereuses.
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