[Jeu] Histoire en rimes

Voilà le principe, on commence avec un vers, et a la suite on le colle et on en rajoute un qui rime avec le premier et qui a du sens.
Le prochain posteur propose un autre vers qui a du sens avec l'autre et ainsi de suite.

Le mur brun de son antre, dans la lumière du soir

Okkk

Le mur brun de son antre, dans la lumière du soir,
Semblait soupirer, m'attirer vers le noir.

Nombre de messages : 26 Date d'inscription : 27/05/2007

Le mur brun de son antre, dans la lumière du soir,
Semblait soupirer, m'attirer vers le noir,
Car quand il n'y a plus rien à dire, à voir,

Le mur brun de son antre, dans la lumière du soir,
Semblait soupirer, m'attirer vers le noir,
Car quand il n'y a plus rien à dire, à voir,
Que plus rien ne peut vous émouvoir,

Le mur brun de son antre, dans la lumière du soir,
Semblait soupirer, m'attirer vers le noir,
Car quand il n'y a plus rien à dire, à voir,
Que plus rien ne peut vous émouvoir.
La vie vous apparaît comme un fragment de miroir.

[ On change de rime ou pas ?? ]

Vas y, chaque strophe fera dons 5 vers ^^

Le mur brun de son antre, dans la lumière du soir,
Semblait soupirer, m'attirer vers le noir,
Car quand il n'y a plus rien à dire, à voir,
Que plus rien ne peut vous émouvoir.
La vie vous apparaît comme un fragment de miroir.

Haine et souffrance rythment ta vie,

Haine et souffrance rythment ta vie,
T'entraînant doucement dans la Folie,

Haine et souffrance rythment ta vie,
T'entraînant doucement dans la Folie,
Tu sombres lentement dans une douce agonie,

Haine et souffrance rythment ta vie,
T'entraînant doucement dans la Folie,
Tu sombres lentement dans une douce agonie,
Elle te ratrappe, la mélancolie

Le mur brun de son antre, dans la lumière du soir,
Semblait soupirer, m'attirer vers le noir,
Car quand il n'y a plus rien à dire, à voir,
Que plus rien ne peut vous émouvoir.
La vie vous apparaît comme un fragment de miroir.

Haine et souffrance rythment ta vie,
T'entraînant doucement dans la Folie,
Tu sombres lentement dans une douce agonie,
Elle te ratrappe, la mélancolie

Mais ton ame sortira d'ici.

Nombre de messages : 179 Age : 29 Date d'inscription : 18/02/2007

Le mur brun de son antre, dans la lumière du soir,
Semblait soupirer, m'attirer vers le noir,
Car quand il n'y a plus rien à dire, à voir,
Que plus rien ne peut vous émouvoir.
La vie vous apparaît comme un fragment de miroir.

Haine et souffrance rythment ta vie,
T'entraînant doucement dans la Folie,
Tu sombres lentement dans une douce agonie,
Elle te ratrappe, la mélancolie

Mais ton ame sortira d'ici
En toi tu apercevras

[je change la rime ]

Le mur brun de son antre, dans la lumière du soir,
Semblait soupirer, m'attirer vers le noir,
Car quand il n'y a plus rien à dire, à voir,
Que plus rien ne peut vous émouvoir.
La vie vous apparaît comme un fragment de miroir.

Haine et souffrance rythment ta vie,
T'entraînant doucement dans la Folie,
Tu sombres lentement dans une douce agonie,
Elle te ratrappe, la mélancolie
Mais ton ame sortira d'ici.

En toi tu apercevras
Ca prendra le temps qu'il faudra,

Le mur brun de son antre, dans la lumière du soir,
Semblait soupirer, m'attirer vers le noir,
Car quand il n'y a plus rien à dire, à voir,
Que plus rien ne peut vous émouvoir.
La vie vous apparaît comme un fragment de miroir.

Haine et souffrance rythment ta vie,
T'entraînant doucement dans la Folie,
Tu sombres lentement dans une douce agonie,
Elle te ratrappe, la mélancolie
Mais ton ame sortira d'ici.

En toi tu apercevras
Ca prendra le temps qu'il faudra,
Que tu laisses dans ton dos en partant d'un bon pas

Le mur brun de son antre, dans la lumière du soir,
Semblait soupirer, m'attirer vers le noir,
Car quand il n'y a plus rien à dire, à voir,
Que plus rien ne peut vous émouvoir.
La vie vous apparaît comme un fragment de miroir.

Haine et souffrance rythment ta vie,
T'entraînant doucement dans la Folie,
Tu sombres lentement dans une douce agonie,
Elle te ratrappe, la mélancolie
Mais ton ame sortira d'ici.

En toi tu apercevras
Ca prendra le temps qu'il faudra,
Que tu laisses dans ton dos en partant d'un bon pas

Ces sentiments des temps là.

Le mur brun de son antre, dans la lumière du soir,
Semblait soupirer, m'attirer vers le noir,
Car quand il n'y a plus rien à dire, à voir,
Que plus rien ne peut vous émouvoir.
La vie vous apparaît comme un fragment de miroir.

Haine et souffrance rythment ta vie,
T'entraînant doucement dans la Folie,
Tu sombres lentement dans une douce agonie,
Elle te ratrappe, la mélancolie
Mais ton ame sortira d'ici.

En toi tu apercevras
Ca prendra le temps qu'il faudra,
Que tu laisses dans ton dos en partant d'un bon pas
Ces sentiments des temps là
Que tu avais oublié jusque là

Le mur brun de son antre, dans la lumière du soir,
Semblait soupirer, m'attirer vers le noir,
Car quand il n'y a plus rien à dire, à voir,
Que plus rien ne peut vous émouvoir.
La vie vous apparaît comme un fragment de miroir.

Haine et souffrance rythment ta vie,
T'entraînant doucement dans la Folie,
Tu sombres lentement dans une douce agonie,
Elle te ratrappe, la mélancolie
Mais ton ame sortira d'ici.

En toi tu apercevras,
Ca prendra le temps qu'il faudra,
Que tu laisses dans ton dos en partant d'un bon pas,
Ces sentiments des temps là,
Que tu avais oublié jusque là.

Alors, tu te souviendra de moi,

Le mur brun de son antre, dans la lumière du soir,
Semblait soupirer, m'attirer vers le noir,
Car quand il n'y a plus rien à dire, à voir,
Que plus rien ne peut vous émouvoir.
La vie vous apparaît comme un fragment de miroir.

Haine et souffrance rythment ta vie,
T'entraînant doucement dans la Folie,
Tu sombres lentement dans une douce agonie,
Elle te ratrappe, la mélancolie
Mais ton ame sortira d'ici.

En toi tu apercevras,
Ca prendra le temps qu'il faudra,
Que tu laisses dans ton dos en partant d'un bon pas,
Ces sentiments des temps là,
Que tu avais oublié jusque là.

Alors, tu te souviendra de moi,
Ce que nous avons vécu en ce temps la

[pour moi ca fait une rime^^]

Le mur brun de son antre, dans la lumière du soir,
Semblait soupirer, m'attirer vers le noir,
Car quand il n'y a plus rien à dire, à voir,
Que plus rien ne peut vous émouvoir.
La vie vous apparaît comme un fragment de miroir.

Haine et souffrance rythment ta vie,
T'entraînant doucement dans la Folie,
Tu sombres lentement dans une douce agonie,
Elle te ratrappe, la mélancolie
Mais ton ame sortira d'ici.

En toi tu apercevras,
Ca prendra le temps qu'il faudra,
Que tu laisses dans ton dos en partant d'un bon pas,
Ces sentiments des temps là,
Que tu avais oublié jusque là.

Alors, tu te souviendra de moi,
Ce que nous avons vécu en ce temps la
Le bonheur passé avec toi,

Le mur brun de son antre, dans la lumière du soir,
Semblait soupirer, m'attirer vers le noir,
Car quand il n'y a plus rien à dire, à voir,
Que plus rien ne peut vous émouvoir.
La vie vous apparaît comme un fragment de miroir.

Haine et souffrance rythment ta vie,
T'entraînant doucement dans la Folie,
Tu sombres lentement dans une douce agonie,
Elle te ratrappe, la mélancolie
Mais ton ame sortira d'ici.

En toi tu apercevras,
Ca prendra le temps qu'il faudra,
Que tu laisses dans ton dos en partant d'un bon pas,
Ces sentiments des temps là,
Que tu avais oublié jusque là.

Alors, tu te souviendra de moi,
Ce que nous avons vécu en ce temps la
Le bonheur passé avec toi,
Qu'en moi, rien ne brisa

Le mur brun de son antre, dans la lumière du soir,
Semblait soupirer, m'attirer vers le noir,
Car quand il n'y a plus rien à dire, à voir,
Que plus rien ne peut vous émouvoir.
La vie vous apparaît comme un fragment de miroir.

Haine et souffrance rythment ta vie,
T'entraînant doucement dans la Folie,
Tu sombres lentement dans une douce agonie,
Elle te ratrappe, la mélancolie
Mais ton ame sortira d'ici.

En toi tu apercevras,
Ca prendra le temps qu'il faudra,
Que tu laisses dans ton dos en partant d'un bon pas,
Ces sentiments des temps là,
Que tu avais oublié jusque là.

Alors, tu te souviendra de moi,
Ce que nous avons vécu en ce temps la
Le bonheur passé avec toi,
Qu'en moi, rien ne brisa

Je peux masquer, mais jamais je n'oublierais ces choses la

Le mur brun de son antre, dans la lumière du soir,
Semblait soupirer, m'attirer vers le noir,
Car quand il n'y a plus rien à dire, à voir,
Que plus rien ne peut vous émouvoir.
La vie vous apparaît comme un fragment de miroir.

Haine et souffrance rythment ta vie,
T'entraînant doucement dans la Folie,
Tu sombres lentement dans une douce agonie,
Elle te ratrappe, la mélancolie
Mais ton ame sortira d'ici.

En toi tu apercevras,
Ca prendra le temps qu'il faudra,
Que tu laisses dans ton dos en partant d'un bon pas,
Ces sentiments des temps là,
Que tu avais oublié jusque là.

Alors, tu te souviendra de moi,
Ce que nous avons vécu en ce temps la
Le bonheur passé avec toi,
Qu'en moi, rien ne brisa
Je peux masquer, mais jamais je n'oublierais ces choses la

Tu fais partie de moi, incrusté dans ma chair, mon sang

Le mur brun de son antre, dans la lumière du soir,
Semblait soupirer, m'attirer vers le noir,
Car quand il n'y a plus rien à dire, à voir,
Que plus rien ne peut vous émouvoir.
La vie vous apparaît comme un fragment de miroir.

Haine et souffrance rythment ta vie,
T'entraînant doucement dans la Folie,
Tu sombres lentement dans une douce agonie,
Elle te ratrappe, la mélancolie
Mais ton ame sortira d'ici.

En toi tu apercevras,
Ca prendra le temps qu'il faudra,
Que tu laisses dans ton dos en partant d'un bon pas,
Ces sentiments des temps là,
Que tu avais oublié jusque là.

Alors, tu te souviendra de moi,
Ce que nous avons vécu en ce temps la
Le bonheur passé avec toi,
Qu'en moi, rien ne brisa
Je peux masquer, mais jamais je n'oublierais ces choses la

Tu fais partie de moi, incrusté dans ma chair, mon sangEt je te rejoindrai plus vite que le vent,